L’identité est de plus en plus inscrite dans une dynamique avec laquelle elle est d’autant plus amenée à « composer », qu’elle est insérée dans un espace mondial plus étendu, et un espace local sorte d’outil d’un ancrage identitaire fort, qui ne cesse de se rétrécir.
À l’ère des réseaux numériques et du web social, l’identité est fort départagée entre des défis planétaires portant la marque de la mondialisation et de la globalisation, et le besoin intime de garder l’ancrage physique et symbolique à des normes des représentations et des cultures profondément enracinées dans l’histoire.
Entre le planétaire et le local, le marché, tout autant que la communication, tendent imperceptiblement à imposer leurs « valeurs » sacro-saintes, celles du primat de l’économique sur le politique et le social, puis sur le culturel et l’identitaire.
Partage sur les réseaux sociaux