L’identité est de plus en plus inscrite dans une dynamique avec laquelle elle est d’autant plus amenée à « composer », qu’elle est insérée dans un espace mondial plus étendu, et un espace local sorte d’outil d’un ancrage identitaire fort, qui ne cesse de se rétrécir.
De toute la littérature en vogue sur la thématique des réseaux sociaux numériques, l’on finit généralement et assez souvent par s’arrêter sur la question principale suivante : les réseaux sociaux conçus comme un outil permettant aux individus de pratiquer une forme de sociabilité en ligne, favorisent-ils réellement la sociabilité telle que nous la pratiquons ou percevons en dehors des dispositifs électroniques de médiation et d’intermédiation ?
Le livre : «Numérique et développement au Maroc : la grande fracture»
L’auteur : Yahya El Yahyaoui
Editeur : L’Harmattan, Paris
«L’Etat-plateforme : innovation disruptive et devenir du service public numérique» est le titre de l’ouvrage que Yahya El Yahyaoui vient de publier aux Editions Spinelle à Paris. L’ouvrage, en 278 pages, comporte quatre grands chapitres dédiés à ce que l’auteur appelle l’Etat-plateforme dans ses rapports à l’innovation et au service public :
"...L'ouvrage de Yahya El Yahyaoui a le très grand mérite d’associer finement, deux clés d’entrée cruciales pour qui veut tenter de comprendre les puissantes dynamiques de transformation des sociétés contemporaines : les (biens) communs et le numérique.
Dans un langage technique, difficile même d’accès aux initiés les plus avertis, la partie afférente aux télécommunications et au commerce électronique occupe les treizième et quatorzième rangs dans l’Accord de Libre Echange entre le Maroc et les Etats-Unis d’Amérique.
Une contribution sur le rôle des mouvements alter mondialistes dans la défense des droits de l'homme
Mémoire de licence
Yahya El Yahyaoui
Sous la direction du Pr. Fathallah Oualalou
Année universitaire : 1985-86
Etude sur les réalités des industries culturelles dans les pays du Maghreb et les perspectives de leur développement.
Depuis le début des années 80, deux phénomènes majeurs, d’ampleur inédite et de portée « universelle » se combinent et s’associent pour rendre toute approche des télécommunications difficile et confuse : les mutations technologiques et les mouvements de déréglementation, de libéralisation et de privatisation.